mercredi 20 mai 2009

Mais qui est François Rivière


Beaucoup de Perpignannais ne connaissent pas ou peu cet homme de 45 ans, marié et père de quatre enfants. Chevalier de la Légion d’Honneur et Chevalier de l’Ordre national du Mérite. Chef d’entreprise, Président d’Arteus. Fondateur et Président du Concours National des Villes et Pôles d'excellence de coeur de ville. Fondateur et Président de la Fondation "Le Temps des Villes". Ancien Président du Groupe Epolia, numéro 2 français du stationnement.
Ancien Président du Viaduc de Millau, voilà un curriculum vitae qui doit faire trembler les politiques locaux puisqu'il est candidat au x prochaines élections municipales de Perpignan. Appelé, le "parachuté UMP Parisien", le candidat assure être l'homme du rassemblement pour Perpignan. Il n'exclu pas par ailleurs, le présence de collistiers de tous bords pour constituer sa liste. Soutenu par les anti-Alduistes de droite, il pourrait bien recueillir l'ensemble des voix de celles et ceux qui ne souhaitent plus souternir JPA sans pour autant voter à gauche. Ce candidat sorti du chapeau pourrait donc bien semer le trouble dans la campagne, et, si le score lui permet un passage au second tour, rien ne serait étonnant qu'il cherche alliance avec le Modem, voir le centre Gauche de Codognès. Une idée qu'il aura probablement déjà envisagé même si il est encore trop tôt pour les tractations du second tour. Voyons la suite.....Nous l'avons interviewé dans la rue après l'annonce de l'invalidation de l'élection rendue par le conseil d'état.

samedi 25 avril 2009

Elections



Choisissez le meilleur chemin pour éviter que la ville tombe aux mains du couple infernal Bourquin-Amiel- Donat."

vendredi 24 avril 2009


UMP : Recadrage en famille à Pollestres


Hier soir, entre 1 000 et 1 300 personnes ont pris part à un comité départemental de l'UMP aux allures de meeting. Seulement, il avait lieu à Pollestres. Pour l'UMP, l'avenir de Jean-Paul Alduy ne se joue pas uniquement à Perpignan.

O vation debout, prénom scandé, appel à l'Union pour la Mairie de Perpignan - UMP, donc -, Jean-Paul Alduy a été accueilli par sa famille hier soir à la salle Jordi Barre de Pollestres. Mais il l'a été encadré par le président départemental de l'UMP, Daniel Mach, et son secrétaire, François Calvet. Encadré, c'est le mot.
On avait bien senti ces jours derniers que l'UMP 66 entendait bien mettre Jean-Paul Alduy sous tutelle. Hier, le discours de Daniel Mach a officialisé cette démarche. Il a été franc, c'est une caractéristique du bonhomme qui ne se dément pas. Extraits : "Les Perpignanais te reconnaissent la vision d'avenir et d'urbaniste que tu as eue pour préparer Perpignan, aux 20 ou 30 prochaines années. (...) Le service de propreté de la ville, a bénéficié de lourds budgets pour son amélioration, mais je te le dis, Jean-Paul, il n'a pas encore donné entière satisfaction à tes administrés, qui ne s'en contentent pas. Ils veulent voir en permanence, les agents municipaux nettoyer leur ville. (...) La ville de Perpignan a également une police municipale, dont les missions doivent être redéfinies, parce que là aussi, l'insécurité a envahi le quotidien des Perpignanais. Ils n'acceptent plus d'être inquiétés ou bousculés, ne serait-ce que verbalement. (...) Saint-Jacques ou Saint-Matthieu ont toujours été Saint-Jacques ou Saint-Matthieu, mais aujourd'hui, l'exaspération et l'impatience ont gagné toute la ville, et ces secteurs sont devenus des repères de communautés. (...) Il ne faut plus attendre que les immeubles tombent, on doit prendre l'initiative de les faire tomber." "Un équipage différent" A la suite du président, le secrétaire départemental, François Calvet a joué le rôle du gentil. Exemples : "A l'agglo, tu as imposé une méthode de respect et de tolérance entre les maires. (...) Mise hors d'eau, dynamisme et développement économique. (...) Ce projet a été réussi dans le calme et ce calme, nous devons le conserver. Ce n'est pas la gauche qui va confisquer nos résultats." A l'instar de Daniel Mach, François Calvet a appelé à l'union derrière Jean-Paul Alduy, s'il était à nouveau candidat. Et justement. Ce dernier était invité à donner une réponse. Sans surprise, il a demandé un délai de réflexion, qu'il a obtenu. "En tant qu'humain, j'ai le droit de choisir mon destin" , a-t-il plaidé. Il a assuré avoir "entendu Daniel et François." S'il repart, il sait qu'il lui faudra "un équipage différent" . Il a, lui aussi fortement réclamé "l'union" , sans oublier de rappeler que lorsqu'il était président de l'UMP, il l'avait "conduit au grand chelem parlementaire" et expliquant qu'il ne serait pas "celui qui fera perdre Perpignan et l'agglo". Il a conclu ainsi : "Dès ce soir, vous devez tous et toutes vous considérer comme candidats à la mairie de Perpignan."

jeudi 9 octobre 2008

La perte d'une bâtisse ancestrale.....

Vif émoi, la nuit du 7 octobre 2008, en plein centre ville de Perpignan où l'immeuble de la parfumerie Douglas s'est transformé en spectaculaire brasier. Très vite, les flammes ont gagné les trois étages de cette bâtisse ancestrale qui abrite également un cabinet d'avocats, une étude d'huissiers ainsi qu'un appartement dont l'occupante a été évacuée d'urgence. Dans la manoeuvre, un des 70 pompiers en lutte contre l'incendie a fait une chute et a été très grièvement blessé tandis qu'un autre a été incommodé par la fumée. Leurs jours ne sont plus en danger. Surpris par une caméra de surveillance l'auteur présumé du feu a été interpellé et placé en garde à vue. Perpignanais, âgé de 24 ans, il serait dérangé mental...

mardi 7 octobre 2008

Election allons-nous revoter ?

MONTPELLIER (AFP) — Le tribunal administratif de Montpellier a annulé mardi l'élection municipale de Jean-Paul Alduy (UMP) à Perpignan, estimant que la fraude était bien avérée et que le faible écart de voix entre les deux candidats pouvait altérer la sincérité du résultat.
Le jugement précise que la prochaine élection devra être surveillée par un juge du tribunal. L'élection avait été entachée d'incidents évoqués dans les médias sous le nom de "fraude à la chaussette".
Le tribunal n'a pas suivi les recommandations du commissaire du gouvernement qui s'était prononcé le 23 septembre pour le rejet de la requête de Jacqueline Amiel-Donat (PS), dont la liste d'union avait été battue de 574 voix par celle du maire sortant UMP, Jean-Paul Alduy.
Seule des candidats aux municipales à être présente au tribunal, Mme Amiel-Donat s'est déclarée "soulagée", les larmes aux yeux.

"La justice a été rendue pour les électeurs perpignanais, sans préjuger du résultat des prochaines élections", a-t-elle ajouté. "Ils pourront revoter dignement en conformité avec les lois de la France".
De son côté, le premier adjoint au maire, Jean-Marc Pujol, s'est déclaré "stupéfait" par "la décision à laquelle, en tant que juriste (il se) plie". "J'attends les motivations avec impatience", a-t-il ajouté.

"Quand le commissaire du gouvernement demande l'annulation du bureau 4 (le bureau incriminé dans la "fraude à la chaussette", ndlr), je suis étonné, mais là je suis stupéfait", a poursuivi cet avocat. L'avocat de M. Alduy s'est pour sa part refusé à toute déclaration notamment sur l'éventualité d'un appel du maire de Perpignan.

M. Alduy a un mois pour interjeter appel devant le Conseil d'Etat, une requête qui suspendrait le jugement du tribunal administratif. Le Conseil d'Etat aurait alors six mois pour se prononcer.

lundi 15 septembre 2008

Nouvelle plaque d'immatriculation dès janvier 2009




Les automobilistes français vont devoir s'y habituer, le système d'immatriculation national actuel, en place depuis les années 1950, sera remplacé le 1er janvier 2009.
Cette nouvelle plaque, attribuant un numéro à vie à chaque véhicule, entrera dans le cadre du nouveau Système d'immatriculations des véhicules (SIV) qui succèdera à l'actuel Fichier national des immatriculations (FNI).
La disparition faculative du numéro de département semble être la principale déception des Français, visiblement très attachés à cette inscription.
A suivre !


dimanche 14 septembre 2008

Perpignan ! de Balbino Medellin

Belle chanson , sur Perpinya la Catalana ,je ne suis pas catalan , mais de coeur ;Balbino a trés bien mis en valeur Perpinya ,visca a tots la Catalunya, adeu